Suivant un processus de superposition et d’obstruction, son langage presque chimique aboutit à une représentation abstraite et sensorielle de ciels éprouvettes, évoquant la violence de son quotidien ébloui. Des œuvres reliques pour partager avec la société son regard singulier mais aussi pour lutter contre l’oubli.
A une époque où des machines choisissent à notre place ce qui vaut la peine d’être conservé, Andréa Parianti s’engage à reprendre possession de l’acte d’archive. Dans sa bibliothèque visuelle à lui, il capture des datas et résiste ainsi à cette consignation automatique imposée par l’ère numérique.